dimanche 27 août 2023

En attendant plus... voici une acquisition récente : Playmobil City Life #70016, Le fleuriste !

 Ch'alut !

L'approche de ma défense de mémoire n'aidant pas à la profusion d'articles sur mon blog, j'ai décidé de m'octroyer un peu de détente en ouvrant un set Playmobil acquis en juillet 2023, histoire de trouver un peu de sérénité. Il ne faudra pas être exigeant niveau photos, puisque j'ai tout immortalisé au téléphone.

Il s'agit donc du fleuriste, référence 70016 sorti en 2019. La boîte fait partie d'une gamme regroupant trois autres bâtiments : la maison de ville (#70014), le café (#70015) et le magasin de vêtements (#70017). Le tout fonctionne un peu comme les modulars du concurrent Lego, puisque les maisons peuvent s'aligner pour permettre la création d'un quartier, d'une rue, voire d'une ville, pour les plus ambitieux·ses. Il est également possible, en acquérant le reste de la collection, de combiner les bâtiments, d'en créer de nouveaux ou du moins, de les reconfigurer à sa guise.

Aujourd'hui, les stocks sont épuisés, mais j'ai pu acquérir ce charmant article chez Kruidvat au prix de 14,99€, une somme intéressante lorsque l'on connaît le prix conseillé Playmobil (39,99€...), le tout par l'intermédiaire de ma sœur qui connaît les bons plans et m'alerte de temps à autre sur les bonnes affaires.

Petit aperçu de la boîte et de ce qu'elle contient :



Une fois le tout monté :


Le bâtiment est très charmant et présente bien. Il est aussi extrêmement simple à construire, même s'il pourra déplaire aux amateurs du très ancien système "steck". Il semble effectivement bien conçu pour permettre une certaine jouabilité à l'enfant. Toutefois, à l'intérieur, on se rend compte que ce fleuriste n'a pas beaucoup de fleurs à vendre... Un comble. Il faudra un peu garnir tout ça !


Pour cela, Playmobil propose une série d'autocollants pour customiser l'intérieur de la maison comme l'extérieur. Si certains motifs sont sympas, on préférera laisser de la place pour de véritables accessoires Playmobil, plutôt que des stickers "plats".


J'aime particulièrement les détails du parquet. Les sols ont très souvent été unis chez Playmobil. Cette évolution est fort appréciable.


Comme très souvent dans les gammes sur la ville et la vie moderne, les personnages sont très standards. Je vous avoue que je ne me suis pas beaucoup attardé sur eux. On appréciera quand même le beau tablier du vendeur.


Remarquez le petit détail du pot bleu de Lechuza sur la photo de droite, seconde marque phare de la société geobra Brandstätter (qui produit les figurines Playmobil). Un peu d'autopromo donc...

Si ce fleuriste ne dispose pas d'une aussi grande variété de plantes qu'espéré (malgré la présence d'un cactus), il propose à ses clients d'autres produits, comme une couronne de fleurs ou encore des cartes postales, accessoires plutôt bienvenus.




Sot que je suis, je pensais qu'il me manquait une tulipe rose (si c'est bien une tulipe ? Excusez mes faibles compétences en botanique...). En rangeant tout dans la boîte, je me suis rendu compte qu'elle trainaît à côté du fauteuil sur lequel j'étais assis. 
Conclusion : un achat que je suis très content d'avoir fait. J'espère tomber sur les autres boîtes de la gamme à bons prix !


Je pense prochainement mettre en avant des boîtes de la gamme Playmobil Novelmore, dont certaines n'ont pas encore été ouvertes... J'ai aussi récemment acquis de nouvelles Myth Cloth. Le programme est assez chargé !

À bientôt !

Romplay

samedi 19 août 2023

Movie Usher Scooter - The Muppets Take Manhattan (Série 8) - par Palisades Toys

 Ch'alut !

Dernier Muppet de ma petite collection Palisades Toys classique (j'ai aussi des Mini-Muppets par ce fabriquant), on passera à d'autres licences et d'autres gammes de figurines et de jouets pour les articles suivants.

Je vous présente ici Scooter qui, dans la série originale, Le Muppet Show, est le fils du propriétaire du théâtre, ce qui contraint Kermit à accepter certaines choses désagréables. Dans le troisième film des Muppets - après The Muppet Movie (1979) de James Frawley et The Great Muppet Caper (1981) de Jim Henson - à savoir, The Muppets Take Manhattan (1984) de Frank Oz, Kermit et ses ami·e·s rêvent de percer dans le monde du music-hall en se produisant à Broadway. Ne parvenant pas tout de suite à leur fin, ils décident de se séparer pendant un moment, le temps de trouver les fonds et une bonne opportunité, et s'engagent dans des emplois divers et variés : Rowlf travaille dans un chenil, Gonzo devient un piètre skieur nautique, Fozzie, quant à lui, retourne vivre avec les ours, tandis que Scooter gère un cinéma au sein duquel Lew Zealand travaille aux effets spéciaux d'un film 3D, en balançant ses poissons boomerang et le Chef Suédois s'occupe de la vente de pop-corns.

Il est possible que vous connaissiez ce film en version française sous le nom Les Muppets à Manhattan ou encore Les Muppets attaquent Broadway.

La boîte

Comme pour Statler et Waldorf ! Seule différence : le blister ne mentionne pas Le Muppet Show mais le film The Muppets Take Manhattan.


La figurine et son accessoire

Je ne pense pas m'étendre davantage sur cette figurine, j'adore ce petit costume et le fait que le personnage comporte de très nombreuses articulations, similaires à celles de Statler et Waldorf. Détail très appréciable que ce Muppet Theatre sur le dos de la veste. Une figurine encore très réussie.


L'accessoire surprend un peu, puisqu'il s'agit d'une charrette à pop-corns, ne correspondant pas vraiment au poste occupé par Scooter dans le film, mais plutôt à celui du Chef Suédois. Élément toutefois fort sympathique pour l'accompagner, mais c'est malheureusement la seule chose à se mettre sous la dent.

La prochaine fois...

...je passerai à d'autres franchises/collections que les Muppets pour les articles qui suivront, mais j'avais très envie de partager les quelques figurines que je possédais de la gamme d'action figure de Palisades. J'ai d'autres Muppets (notamment du Sesame Street), mais nous y reviendrons plus tard. À bientôt pour des articles d'un tout autre genre...

vendredi 18 août 2023

Statler & Waldorf - The Muppet Show (Série 6) - par Palisades Toys, et un peu d'origin story !

Ch'alut !

Double review aujourd'hui, puisque l'on s'attaque aux deux critiques moqueurs du Muppet Show : Statler et Waldorf !
Statler (à gauche) et Waldorf (à droite)

Les origines

L'inspiration que Jim Henson trouve en regardant différents sketches et émissions TV façonnera une grande partie de la personnalité des Muppets. C'est par le biais de diverses influences qu'Henson imagine des personnages comme Le Cuisinier Suédois ou encore Sam l'Aigle
Les deux personnages railleurs que je vous présente aujourd'hui trouvent leur origine dans le Milton Berle Show, une émission télévisée qui dura de 1948 à 1956, avant de repprendre de 1966 à 1967. Au sein du programme, un concept de sketch revient régulièrement : l'animateur et humoriste Milton Berle se voit interrompre et chahuté durant son numéro par un certain Sidney Spritzer, spectateur factice installé au balcon incarné par l’acteur américain Irving Benson. La différence de ton se ressent toutefois. Là où nos deux vieux se montrent hilares et se manifestent par un jeu totalement exubérant (finalement propre à la marionnette et plutôt, aux Muppets !), Spritzer est plus froid, rendant ses piques plus douloureuses, moins forcées et plus naturelles.
Voyez plutôt : 

Le violoniste Henny Youngman remplace aussi le rôle de "Spritzer" :


Ces inspirations sont d'autant plus flagrantes lorsque l'on voit Fozzie être constamment raillé par le duo sénile (même s'ils possèdent tous deux une pêche d'enfer) durant son petit numéro de one man show rempli de blagues... intellectuelles ! ("Wocka wocka" dira-t-il plutôt en version originale) L'intentionnalité de l'hommage à Milton Berle par Jim Henson se confirme lors de l'épisode 3 de la deuxième saison du Muppet Show - il est alors l'invité d'honneur, dans un sketch entre Statler, Waldorf et Berle, reprenant plusieurs blagues déjà effectuées auparavant avec Spritzer.

À présent, trève d'anecdotes ! Passons aux figurines...

Les boîtes et les blisters

Il y a là de quoi être déçu si l'on compare avec les boîtes de Kermit, Piggy et Crazy Harry ! Fini le charme des rideaux de notre émission préférée... Pour cette série 6, place à une boîte full plastic, au bleu pâle et à un logo... peu intéressant. À noter également la mention "From : The Muppet Show" qui n'est pas anodine : certaines figurines produites proviennent de divers films ou encore du Muppet Tonight (comme le personnage de Clifford que vous pouvez apercevoir sur le logo). (la correction colorimétrique de la photo de la boîte de Waldorf est assez foireuse... mea culpa)


Les accessoires

Vous remarquerez également que les accessoires sont sensiblement identiques pour les deux personnages. On a donc droit à leurs belles chaises iconiques (mais malheureusement pas au balcon, présent dans la récente gamme de Diamond Select) qui recèlent de détails de finitions.


Il peut être difficile de les installer de façon satisfaisante sur leurs chaises : il faut à la fois veiller à ce qu'ils tiennent (sans user d'horreurs style patafix) et à ce que leur posing ressemble à quelque chose. On ne peut pas dire que je sois parvenu à un rendu grandiose... je manque peut-être de patience !

Tous deux possèdent aussi un programme (avec les différents actes composés d'une introduction de Kermit, de Mahna Mahna, d'une intervention de Sam l'Aigle et du numéro de Fozzie), un accessoire fort appréciable.

Statler possède trois légumes parlants différents (une courge et deux sortes de potirons) tandis que Waldorf est accompagné d'un potiron et d'une carotte. Pourquoi avec eux...? Je l'ignore. Si je sais que les aliments qui parlent sont récurrents chez les Muppets, il me manque peut-être une référence concernant un lien potentiel entre ces légumes et les deux vieux critiques (qui ne sont pas des légumes pour autant).

Moins excitant, Waldorf a droit à des petits cartons (qui sont réellement en cartons, et c'est là où le bas blesse) de points très généreux comme -1, 0, 1 et 1,5. L'idée est bonne mais la matière choisie (pas très chère) et sa solidité laissent à désirer. Rien de bien fun avec ces objets, à moins de les améliorer d'une quelconque manière.

Les figurines

Elles sont très réussies, il n'y a pas grand chose à redire. Leurs articulations sont très nombreuses et permettent un nombre de poses intéressant. Statler a parfois un peu plus de mal à tenir, étant un personnage très fin, mais je pense que c'est en grande partie à cause de la table de jardin dont la surface n'est pas lisse (en plus de pencher sur l'herbe). J'ai donc dû utiliser le socle qui n'est pas franchement dérangeant. Ils sont pourvus d'articulations au niveau des épaules, des coudes, des poignets, de la tête (de façon rotative pour Waldorf, mais de façon plus précise chez Statler), de l'entrejambe et des rotules. Ils sont aussi capables de bouger le bassin. On peut dire que malgré leur grand âge, ils ont une sacrée mobilité ! Les seules articulations manquantes à mon goût se situent au niveau des pieds que j'aurais aimé pouvoir tourner à ma guise pour affiner les poses. Mais soit, on ne peut pas non plus tout avoir !



Conclusion

Ces deux figurines sont de vraies réussites, constituant un must have pour tous collectionneurs de Muppets (davantage encore que Crazy Harry, par exemple), et on s'étonne de les voir apparaître si tard (série 6! Et en 2003) dans la gamme qui débute en 2002. Terminons avec une petite photo de nos deux railleurs préférés se disputant la place (de vrais enfants dans l'âme). Calmez-vous ! Vous possédez tous deux une chaise !


Encore un Muppet de cette gamme à vous présentez pour la prochaine fois et ensuite, je passerai à d'autres choses 😊 À bientôt pour un nouvel article ! 

Romplay

mercredi 16 août 2023

Petites trouvailles du 15/08/2023

Une petite brocante pas loin de chez m'a permis de faire quelques petites acquisitions fort sympathiques, sans pour autant faire de "giga folies"...

Tout d'abord, il y a ce petit set Playmobil 3857 (Soldats du roi), sorti en 1996, de deux petits soldats pouvant sembler napoléoniens (berk berk), mais provenant en réalité de la gamme Pirates. Le set est complet, il manque juste une petite baïonnette à l'une des deux armes. 3€, ça reste raisonnable.


Pour le reste : un petit cheval blanc Lego articulé (idéal pour faire des brickfilms), des petits animaux Playmobil (un chimpanzé, une autruche, deux koalas, un veau + un chat Lego) dans un lot de vrac acheté par ma mère Dollypop (merci !) et un livre de Winnie l'Ourson de A. A. Milne avec les illustrations de Shepard. J'ai aussi trouvé un cachalot pour 1€ mais comme j'en possédais déjà un premier, je l'ai donné à mon neveu, voyant son intérêt pour l'animal marin.


Dans un autre registre, j'ai également trouvé deux films d'Abbas Kiarostami en DVD, à savoir l'excellent Close-Up (1990) ainsi que la coproduction Copie conforme (2010) avec Juliette Binoche, que je n'ai pas encore vu. Je ne compte pas parler de cinéma sur ce blog, mais j'en profite pour recommander la filmographie de Kiarostami, mon film préféré du réalisateur étant Le vent nous emportera (1999), mais je recommanderais plutôt dans un premier temps, si vous n'avez pas l'habitude de ce genre de films, les deux classiques Où est la maison de mon ami ? (1987, le premier volet de la trilogie de Koker) et Le goût de la cerise, palme d'or à Cannes en 1997.

À bientôt pour d'autres petites ou grandes trouvailles !

Votre humble serviteur,

Romplay

Bienvenue dans mon univers !

     Salut à vous !     Par où commencer ? Par une petite présentation bien sûr !    Je m'appelle Romain et depuis tout petit, je suis p...